Emancipées

Est-il possible d’améliorer la qualité des ovocytes naturellement ?

améliorer la qualité des ovocytes naturellement

Les idées clés

  • La qualité des ovocytes est très importante pour la fertilité féminine, car elle détermine la capacité de l’oeuf à être fécondé et à s’implanter dans l’utérus, tout en évitant les anomalies chromosomiques.
  • En matière d’ovocytes, c’est bien la qualité qui compte, et non la quantité ! En effet, on peut avoir beaucoup d’ovocytes de mauvaise qualité qui n’aboutiront pas sur une grossesse viable, tandis que des ovocytes de bonne qualité, même s’ils sont moins nombreux, augmentent les chances de conception.
  • La qualité ovocytaire baisse avec l’âge, mais le mode de vie peut aussi accentuer, ou au contraire, ralentir le processus.
  • Quand on parle de la fertilité féminine, il y a une problématique qui revient toujours : la quantité d’ovules qu’il nous reste avant la ménopause, que l’on appelle aussi la réserve ovarienne. Toutefois, il y a un autre facteur qui joue énormément sur notre capacité à concevoir : c’est la qualité de nos ovocytes ! Et ça, c’est souvent moins concret, moins palpable, et plus stressant aussi…

    Or si la qualité ovocytaire diminue indéniablement avec l’âge, comme la quantité, on peut néanmoins ralentir ce processus et retrouver des ovocytes de meilleure qualité, pour maximiser ses chances de grossesse, que ce soit naturellement ou à l’issue d’un parcours PMA 🙂

    Ceci étant dit, comment améliorer la qualité de ses ovocytes, concrètement ? Comment notre hygiène de vie peut changer la donne en matière de fertilité ? On vous explique 🙂

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    SPM ou grossesse ? Le jeu des différences !

    spm ou grossesse

    Les idées clés

  • Les symptômes du SPM et du début de grossesse sont assez similaires et il peut être compliqué de faire la différence entre les deux.
  • Les symptômes assez différenciants du début de la grossesse sont le saignement de nidation, les nausées et vomissements et la plus grande visibilité des veines et des tubercules de Montgomery sur les seins, ainsi que le maintien d’une température basale élevée (pour les femmes qui pratiquent la symptothermie).
  • Le timing des symptômes peut aussi aider car les signes de grossesse précoces peuvent être présents 6-7 jours après l’ovulation, alors que les symptômes du SPM surviennent généralement plus tard.
  • Crampes, sautes d’humeur, fatigue, sensibilité accrue, poitrine tendue, etc. : si vous vous demandez parfois (ou souvent) si vos symptômes de fin de cycle menstruel sont liés à une grossesse ou « simplement » à votre syndrome prémenstruel, vous n’êtes pas seules ! Cela concerne aussi bien les femmes qui ont envie d’avoir un bébé que celles qui ne sont absolument pas prêtes à en avoir un 🙂

    Qu’on ait l’habitude d’avoir des symptômes saugrenus, ou qu’un cycle nous en fasse découvrir de nouveaux jusqu’alors inconnus, ces fluctuations peuvent clairement poser question : « je suis enceinte, ou pas ?!« , « SPM ou grossesse ?« . En effet, nos hormones nous jouent parfois des tours et leurs messages ne sont pas toujours clairs, surtout quand on a tendance à tout sur-analyser (on vous voit, et surtout, on vous comprend !).

    Dans ce qui suit, on va tenter de vous expliquer comment faire la différence entre les symptômes du syndrome prémenstruel et ceux qui peuvent être des signes de grossesse précoces 🙂 Let’s go !

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