Les idées clés
Dès que l’on démarre sa vie sexuelle, il est essentiel d’opter pour un moyen de contraception adapté à son mode de vie et ses besoins ! Or, si la pilule est bien implantée dans nos esprits, on oublie qu’il existe toute une palette de moyens de contraception féminine, qu’ils soient à base d’hormones de synthèse, logés à l’intérieur de nos corps ou reposant sur la connaissance de notre cycle menstruel.
Comme il nous tient à coeur que toutes les femmes fassent les choix qui les concernent de manière libre et éclairée, voici un panorama de toutes les méthodes de contraception à la disposition des femmes !
Table des matières
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Qu’est ce qu’un moyen de contraception ?
Pour commencer, définissons concrètement ce qu’est un moyen de contraception : il s’agit d’une méthode qui permet d’éviter une grossesse non désirée. Cela va sans doute sans dire, mais ça va mieux en le disant ! 🙂
Chez la femme, on peut bloquer une grossesse de plusieurs manières : soit en bloquant l’ovulation (ce qui est souvent le cas des méthodes hormonales), soit en empêchant la fécondation (la rencontre entre l’ovule et le spermatozoïde), soit en empêchant la nidation (grâce à une altération de la muqueuse utérine, qui ne permet pas à l’embryon de s’accrocher).
Il existe différents types de méthodes de contraception féminine :
Les méthodes de contraception hormonale, qui contiennent des hormones de synthèse et brouillent/bloquent le dialogue entre le cerveau et les ovaires permettant l’ovulation, et/ou la sécrétion de glaire cervicale + la préparation de l’utérus à la grossesse. Parmi elles, on retrouve la pilule, l’implant ou le dispositif intra utérin hormonal, par exemple.
Les méthodes barrière / mécaniques, qui représentent des obstacles physiques à la potentielle rencontre entre l’ovule et les spermatozoïdes, comme les préservatifs (préservatif masculin et préservatif féminin), la cape cervicale ou le diaphragme. On peut également citer le dispositif intra utérin au cuivre, qui lui, altère la glaire cervicale et provoque une inflammation locale afin d’empêcher une implantation de l’embryon.
La ligature des trompes utérines (anciennement appelées trompes de Fallope), qui est une méthode de contraception définitive.
Les méthodes naturelles, qui reposent le plus souvent sur l’observation des signaux de fertilité afin d’éviter d’avoir un rapport avec pénétration durant les jours qui encadrent l’ovulation. On retrouve aussi bien la méthode Ogino ou méthode du calendrier (largement décriée car obsolète et très peu fiable) que la symptothermie (beaucoup plus fiable et rigoureuse), en passant par les méthodes uniquement basées sur la glaire cervicale, entre autres.
La méthode de contraception d’urgence, ou pilule du lendemain, qui est elle aussi une méthode de contraception hormonale, mais qui doit rester très ponctuelle, seulement utilisée, comme son nom l’indique, en cas d’urgence.

Comment établir le taux de fiabilité d’un moyen de contraception ?
Le critère numéro 1 au moment de faire le choix d’un moyen de contraception est souvent sa fiabilité. Mais comment les autorités de santé établissent-elles le niveau d’efficacité d’un contraceptif ?
Les scientifiques se mettent d’accord autour d’un indice partagé par tous, l’indice de Pearl, qui quantifie le nombre de grossesses non désirées sur 100 personnes/couples ayant adopté un moyen de contraception en particulier pendant une année. Ainsi, si un moyen de contraception est dit fiable à 99%, cela signifie que selon les études, sur 100 femmes qui ont utilisé ce moyen de contraception dans l’année, seule 1 est tombée enceinte.
Là où l’indice de Pearl gagne en pertinence, c’est qu’il fait la distinction entre deux notions, la fiabilité théorique et la fiabilité pratique :
La fiabilité théorique correspond à l’efficacité d’un moyen de contraception dans les conditions parfaites, sans oubli, sans erreur, si tout se passe sans aucun souci, dans des conditions de laboratoire. Autrement dit, c’est la fiabilité du contraceptif.
La fiabilité pratique, quant à elle, prend en compte les aléas de la vraie vie et les erreurs potentiellement commises par les couples/femmes. Autrement dit, c’est la fiabilité de l’utilisation.
C’est ce qui explique que très souvent, l’efficacité pratique d’un moyen de contraception est inférieure à son efficacité théorique. C’est le cas de la pilule, dont l’efficacité théorique est de 99,7%, mais dont l’efficacité pratique retombe à 93% : en effet, on peut être malade ou l’oublier, par exemple ! Idem pour le préservatif masculin, qui est théoriquement efficace à 98%, mais qui en réalité ne l’est qu’à 85% (il peut craquer !).
Ainsi, quand vous voyez le taux de fiabilité d’un moyen de contraception, demandez-vous toujours s’il s’agit de son taux théorique ou pratique, car il s’agit d’une distinction importante 🙂
Les différentes méthodes de contraception chez la femme
Définition, mécanismes, fiabilité, etc. : faisons maintenant le tour des méthodes de contraception proposées aux femmes !

Contraception hormonale
Les méthodes de contraception hormonale reposent sur l’administration d’hormones de synthèse, qui viennent (le plus souvent), leurrer notre cerveau pour bloquer toute la cascade hormonale nous permettant d’ovuler.
Néanmoins, certains contraceptifs hormonaux ne bloquent pas l’ovulation, mais viennent seulement empêcher les conditions propices à la fécondation et à la nidation.
La pilule contraceptive : les pilules oestro-progestatives contiennent des oestrogènes et de la progestérone de synthèse, qui entravent l’ovulation ; les pilules progestatives, quant à elles, contiennent uniquement de la progestérone de synthèse et ne bloquent pas toujours l’ovulation, mais agissent sur la glaire cervicale et la réceptivité de l’endomètre. Elles sont délivrées sur ordonnance par un professionnel de santé (gynécologue ou sage femme) et prises en charge par l’assurance maladie. Leur efficacité pratique est de 93%.
Le stérilet hormonal est une sorte de petit T en plastique contenant un progestatif, inséré dans l’utérus. Certains bloquent l’ovulation (Mirena, Kylena) et d’autres non (Jaydess). Quand ils ne bloquent pas l’ovulation, les DIU hormonaux vont plutôt altérer la glaire cervicale (en la rendant plus épaisse et pâteuse, ce qui rend le passage des spermatozoïdes dans le col de l’utérus bien plus difficile) et amincir l’endomètre pour compliquer la nidation (comme les pilules progestatives !). Son efficacité (théorique et pratique) est de 99,8%.
L’implant contraceptif (ex : Nexplanon) est un petit bâtonnet inséré sous la peau du bras, qui libère en continu un progestatif (de l’étonogestrel). Il vient bloquer l’ovulation, amincir la muqueuse utérine et épaissir la glaire cervicale. Son efficacité (théorique et pratique) est de 99,9%.
Le patch est un autocollant hormonal à coller sur la peau (sur les bras, le ventre, le dos ou les fesses) et qui se change toutes les 3 semaines, en respectant une semaine de pause. Lui aussi bloque l’ovulation et altère la glaire cervicale, ainsi que l’endomètre. L’efficacité pratique du patch est de 91%.
Les progestatifs injectables sont des injections de médroxyprogestérone administrées tous les 3 mois en intramusculaire (dans la fesse ou le bras). Leur efficacité pratique est de 94%.
La pilule du lendemain ou contraception d’urgence, quant à elle, agit en retardant l’ovulation, ce qui permet d’éviter qu’un ovule ne soit libéré alors qu’un rapport sexuel non protégé a eu lieu dans les jours précédents. Son taux de fiabilité pratique est supérieur à 98%, selon la pilule du lendemain utilisée.

Contraception sans hormones : les méthodes barrières
Les méthodes mécaniques, on l’a dit, regroupent toutes les méthodes qui font littéralement barrière à la fécondation, entre le vagin et l’entrée du col de l’utérus, afin d’empêcher que les spermatozoïdes puissent éventuellement accéder à l’ovule. Ces méthodes n’impliquent pas d’hormones de synthèse !
Le préservatif féminin (ex : Femidom) est une gaine en plastique munie de deux anneaux souples, qui se place à l’intérieur du vagin avant un rapport (éventuellement plusieurs heures auparavant). Son taux d’efficacité pratique est de 79%, mais comme son équivalent masculin (qui lui, a un taux d’efficacité pratique de 85%), il a l’avantage de protéger des IST.
La cape cervicale est une petite coupelle en silicone qui se place directement sur le col de l’utérus avant un rapport. Lavable et réutilisable, elle doit être utilisée avec un spermicide ! Elle se met en place avant un rapport et peut rester jusqu’à 48h. Son taux d’efficacité pratique est de 84%.
Le diaphragme : plus large que la cape cervicale et en forme de dôme, il s’agit également d’une coupelle souple en silicone réutilisable qui se place dans le vagin, contre le col de l’utérus, avant un rapport, et à utiliser avec des spermicides. Il se met en place avant un rapport et doit rester au moins 6 heures après (mais pas plus de 24h). Le taux d’efficacité du diaphragme est de 88%.
Certaines femmes utilisent également des spermicides seuls (ce sont des gels qui tuent les spermatozoïdes, à appliquer dans le vagin). Leur taux d’efficacité pratique est de 71%.
On peut également citer le dispositif intra utérin au cuivre : il s’agit d’un tige plastique en forme de T, autour de laquelle est enroulé en fil de cuivre. Le cuivre a la particularité d’être spermicide et de créer une inflammation dans l’utérus, ce qui modifie la glaire cervicale et et atrophie la muqueuse utérine. Son taux d’efficacité pratique est de 99,2%.

Contraception sans hormones : les méthodes d’observation du cycle menstruel
Parmi les méthodes de contraception sans hormones, on peut également compter sur l’ensemble des méthodes de contraception naturelle basées sur l’observation du cycle menstruel, permettant la définition de la fenêtre de fertilité de la femme.
En effet, pour rappel, la période de fécondité féminine n’est que de 6-7 jours par cycle menstruel : 5 jours avant l’ovulation (grâce à la glaire cervicale qui permet aux spermatozoïdes de survivre dans les cryptes du col de l’utérus) et le lendemain de l’ovulation, puisqu’une fois expulsé, l’ovule a une durée de vie de 12 heures environ.
Les méthodes d’observation du cycle menstruel ont pour principe d’éviter tout rapport non protégé durant ces 6-7 jours « à risque ».
Ces méthodes naturelles ont souvent mauvaise presse, car elles sont très hétéroclites ! En effet, on a tendance à mélanger différentes approches, qui n’ont rien à voir en termes de méthodologie, d’indicateurs, et surtout d’efficacité. Voici les principales :
La méthode Ogino ou méthode du calendrier, qui repose sur le calcul de la date de l’ovulation, en tenant compte de la longueur des cycles précédents et du « principe » selon lequel l’ovulation a forcément lieu 14 jours avant les règles. Cette méthode, largement utilisée par les calculateurs d’ovulation et les applications de suivi de cycle, est pourtant considérée comme obsolète : en effet, la phase post-ovulatoire peut durer entre 11 et 16 jours (parfois même moins !) et la longueur des cycles précédents ne donne en aucun cas la date de l’ovulation sur ces cycles-là et encore moins sur ceux à venir. C’est sans doute ce qui explique que sa fiabilité pratique ne soit que de 88%.
La méthode des températures : après l’ovulation, sous l’influence de la progestérone, notre température au réveil augmente légèrement. Cette méthode consiste donc à suivre sa courbe de température pour repérer l’ovulation, mais le hic, c’est qu’elle ne permet de la valider qu’a posteriori, une fois qu’on a ovulé ! Elle n’est donc pas tout à fait adaptée en guise de moyen de contraception.
Les méthodes basées sur l’observation de la glaire cervicale : la consistance de la glaire cervicale évolue au fil du cycle menstruel, en fonction des oestrogènes et de la progestérone. Plus les oestrogènes sont présents à l’approche de l’ovulation, plus la glaire cervicale devient abondante et surtout, elle présente une texture toute particulière, à la fois étirable, lubrifiée et translucide. Une fois l’ovulation passée, elle s’assèche sous l’influence de la progestérone. L’efficacité pratique des méthodes de contraception basées sur la glaire cervicale est comprise entre 78% et 98% selon les écoles.
La symptothermie : la méthode symptothermique combine les indicateurs des deux indicateurs de l’ovulation que l’on vient de citer, la température et la glaire cervicale. L’analyse croisée de ces deux biomarqueurs permet en effet à la fois de voir venir l’ovulation, puis de la confirmer, avec bien plus de précision. Ainsi, elle présente une efficacité pratique de 98,2% (après avoir suivi une formation en symptothermie !)
La méthode MAMA (Méthode de l’Allaitement Maternel et de l’Aménorrhée) : uniquement disponible pour les jeunes mamans, ce moyen de contraception repose sur la sécrétion de prolactine durant l’allaitement qui bloque l’ovulation. Elle répond à des critères assez stricts (un allaitement exclusif, pendant les 6 premiers mois du bébé, si les règles ne sont pas encore revenues et selon un rythme de tétées bien spécifique), mais s’avère tout de même efficace à 98% en pratique.

Contraception définitive : la ligature des trompes
Enfin, pour les femmes qui sont certaines de ne pas vouloir avoir d’autre enfant (ou d’enfant tout court), il leur est également possible de recourir à la ligature des trompes. Cette méthode consiste à empêcher les spermatozoïdes de rejoindre l’ovule, en coupant, littéralement, la route entre l’utérus et le premier tiers de la trompe dans lequel attend l’ovule pour être fécondé après l’ovulation. Un peu comme si on détruisait un pont entre les deux rives d’un fleuve !
Cette méthode de contraception, considérée comme définitive, est fiable à 99,5% (et oui, aucun moyen de contraception n’est fiable à 100%, même le plus radical !)
Comment choisir son moyen de contraception ?
Vaste question ! Le choix d’un moyen de contraception est très personnel, et vous appartient, en fonction de vos envies, de vos besoins, de vos contraintes.
Voici néanmoins quelques questions dont la réponse peut aiguiller votre choix :
Quel est votre niveau d’exigence en termes d’efficacité contraceptive ? (vous n’êtes peut-être pas complètement fermée à une grossesse si elle se présente ?)
Est-ce que vous souhaitez prendre une contraception à base d’hormones de synthèse ?
Est-ce que vous présentez des contre-indications à la prise d’une contraception hormonale : tabac, âge, problèmes cardio-vasculaires, etc. ?
Est-ce que le fait que votre contraception repose sur un dispositif inséré dans votre corps (implant, stérilet, diaphragme, cape cervicale) vous pose problème ?
Est-ce que vous savez si votre/vos partenaire(s) sont clean en termes de IST ?
Est-ce que le fait d’avoir besoin d’une consultation et d’une prescription médicale pour renouveler/poser/retirer votre moyen de contraception est un souci pour vous ?
Est-ce que vous avez envie d’apprendre à observer votre cycle menstruel pour éviter d’avoir à prendre/porter un moyen de contraception tous les jours (et en apprendre plus sur votre santé hormonale au passage !) ?
Est-ce que vous avez besoin d’alléger votre charge mentale (ce qui peut éliminer la pilule, par exemple) ?
Avez-vous besoin d’une contraception qui peut être interrompue immédiatement en cas de désir de grossesse ? (les méthodes hormonales et/ou qui nécessitent le retrait du dispositif peuvent ainsi être écartées).
L’impact écologique ou les matériaux utilisés sont-ils un critère important pour vous ? (ce qui peut exclure les méthodes hormonales, car les hormones sont rejetées dans les eaux usées, et celles à base de plastique jetable qui sont polluantes).

Pour résumer – Questions fréquentes
Quelle contraception est la moins dangereuse ?
Tout dépend de quel danger il est question !
En termes de fiabilité, les méthodes hormonales (93% de taux d’efficacité pratique pour la pilule oestro-progestative, 99,8% pour le stérilet hormonal), la ligature des trompes (99,5%), le stérilet au cuivre (99,2%) et la méthode symptothermique (98,2%) font partie des méthodes les plus sûres.
En termes de santé, les méthodes les moins risquées et qui présentent le moins de contre-indications sont celles qui n’impliquent pas d’hormones ni de dispositif interne, c’est-à-dire les méthodes naturelles.
Quelle est la meilleure contraception pour une femme ?
Tout dépend de vous, de vos choix, de votre état de santé et de votre situation de manière générale ! Le meilleur moyen de contraception est celui qui vous convient, qui vous protège d’une grossesse non désirée tout en ne présentant pas de risque pour votre santé. Et il peut évoluer au cours de votre vie !
Quelles sont les méthodes de contraception pour les hommes ?
Nous nous sommes exclusivement attardé sur les moyens de contraception pour les femmes dans cet article, mais il est évident qu’il existe aussi des moyens de contraception masculine ! On peut bien sûr citer le préservatif masculin, le retrait (qui ne brille pas par son efficacité) et la vasectomie (technique considérée comme irréversible), mais d’autres contraceptifs sont également disponibles pour ces messieurs 🙂
Quelle est la contraception la plus naturelle ?
Les méthodes de contraception les plus naturelles sont celles qui ne font pas appel aux hormones de synthèse et qui requièrent un minimum d’outils annexes, telles que les méthodes d’observation du cycle menstruel comme la symptothermie (qui ne demande que de s’équiper que d’un thermomètre + d’une application ou d’un carnet pour noter ses observations).
Quels sont les moyens de contraception pris en charge par l’Assurance Maladie ?
En France, certains moyens de contraception, disponibles sur prescription médicale délivrée par un médecin (gynécologue, sage femme, médecin traitant) sont remboursés, entièrement ou en partie.
Ainsi, certaines pilules (principalement de 1ère et 2ème génération), l’implant, les progestatifs injectables, les DIU et le diaphragme sont remboursés à 65% pour les femmes de 26 ans et plus. Pour les moins de 26 ans, la prise en charge est totale et sans avance de frais 🙂 La pilule du lendemain est quant à elle disponible gratuitement en pharmacie sans prescription médicale pour toutes les femmes, quel que soit leur âge.
En revanche, les pilules contraceptives de 3ème génération, le patch, la cape cervicale et les spermicides ne sont pas pris en charge par l’assurance maladie. C’est également le cas des formations aux méthodes d’observation du cycle, mais de plus en plus en mutuelles pallient cet écueil !
Nous avons fait ensemble un large tour des moyens de contraception qui s’offrent aux femmes ! Les possibilités sont multiples, allant de la fameuse pilule aux stérilets, en passant par la méthode symptothermique, il est donc important de toutes les avoir en tête avant de faire son choix.
Par ailleurs, ce qui est adapté à une personne ne le sera pas à une autre, et chacune doit réfléchir à ses priorités pour se faire sa propre religion. L’important est d’être sereine et à l’aise avec son choix ! Par ailleurs, le bon moyen de contraception à un instant T de votre vie ne sera probablement pas le même quelques années plus tard : après une période folle à multiplier les partenaires et à privilégier la protection contre les infections sexuellement transmissibles, vous aurez peut-être envie de plus de naturel et pourrez envisager d’autres méthodes grâce à un dialogue et une complicité au sein de votre couple 🙂
Qu’en pensez-vous ? Quel est votre moyen de contraception à vous, est-ce que vous en avez essayé plusieurs avant de trouver le bon ? N’hésitez pas à partager tout ceci avec nous en commentaire !