Les idées clés
- Grâce à sa richesse en acides gras essentiels, et plus particulièrement en acide gamma linoléique (GLA), l’huile d’onagre est une alliée précieuse du cycle menstruel.
- Elle aide à réguler les hormones féminines et à calmer l’inflammation : elle est donc souvent recommandée en cas de syndrome prémenstruel (SPM).
- L’huile d’onagre est également une alliée précieuse pour améliorer sa glaire cervicale.
- L’huile d’onagre doit cependant être bien choisie pour être efficace.
L’huile d’onagre est un complément alimentaire régulièrement conseillé pour les troubles du cycle féminin, et notamment pour le syndrome prémenstruel : mais qu’en est-il réellement ? Comment fonctionne l’huile d’onagre et comment agit-elle, concrètement, pour apaiser les cycles et surtout, les symptômes du SPM ? Cette plante est-elle si miraculeuse ?
Dans ce qui suit, on vous apporte les réponses à toutes ces questions et, spoiler alert : oui, intégrer des capsules d’huile d’onagre dans votre routine quotidienne peut clairement rendre vos cycles plus doux et plus confortables 😉
Table des matières
Bref rappel du déroulement du cycle menstruel
Avant de parler de l’huile d’onagre, revenons rapidement sur ce qui se passe pendant le cycle menstruel 🙂
Le cycle menstruel est le cycle qui permet à la femme d’ovuler chaque mois (environ). Il se déroule grâce à des échanges hormonaux entre notre cerveau et nos ovaires.
On dit couramment qu’il dure 28 jours, même si, en réalité, sa durée normale est entre 21 et 35 jours, et il peut même être plus long voire plus court chez certaines femmes et à certaines étapes de leur vie. Quoi qu’il en soit, il se découpe en 4 phases distinctes : les règles, la phase folliculaire, l’ovulation et la phase lutéale.
Les règles
Le cycle menstruel démarre avec les règles : ce sont des saignements qui permettent d’évacuer l’endomètre (la muqueuse utérine) constitué au cycle précédent. Les hormones féminines sont au plus bas, même si notre cerveau, ou plutôt notre hypothalamus, redémarre en douceur un nouveau cycle, en envoyant de la GnRH à l’hypophyse, une autre zone cérébrale. En réaction, cette dernière envoie de la FSH aux ovaires, pour leur signaler de se réveiller.
La phase folliculaire
Les ovaires, sous l’impulsion de la FSH, enclenchent la maturation de plusieurs follicules, contenant tous un ovocyte. Chacun de ces follicules secrète alors des œstrogènes, proportionnellement à leur niveau de croissance. Plus ils maturent, plus ils sécrètent d’œstrogènes ! Les œstrogènes ont également un rôle à jouer dans la production de glaire cervicale et l’épaississement de l’endomètre.
L’ovulation
Un follicule a pris le lead (le follicule de De Graaf), mettant hors course tous les autres follicules ! Il va tellement maturer et sécréter d’œstrogènes que le cerveau va comprendre qu’il est mûr pour expulser son ovocyte : en réponse, il envoie une grosse dose de LH qui va permettre l’ovulation. L’ovocyte expulsé est récupéré par la trompe utérine et attend gentiment qu’un spermatozoïde vienne le féconder : si ce dernier ne vient pas, il n’y a pas de fécondation et l’ovule meurt au bout de 24 heures maximum.
Pendant ce temps, le pic d’oestrogènes a permis à la glaire cervicale de gagner en qualité et en qualité : elle prend une jolie texture blanc d’oeuf cru, très reconnaissable lors de l’ovulation 🙂
A noter : l’ovulation n’a pas forcément lieu à J14 !
La phase lutéale
La phase lutéale est la phase post-ovulatoire, qui s’étend de l’ovulation jusqu’aux prochaines règles. Les œstrogènes laissent leur place leader à la progestérone, qui est produite par le corps jaune, le résidu du follicule enveloppant l’ovocyte.
Cette phase dure 11 à 16 jours, même si elle peut être plus courte en cas de déséquilibre hormonal. Au bout de 7 jours environ, le corps jaune commence à faiblir et il secrète de moins en moins de progestérone : lorsqu’elle est au plus bas, l’endomètre se délite et les règles reviennent.
La phase lutéale est une phase qui peut être très compliquée pour les femmes souffrant de syndrome prémenstruel (que l’on détaille plus bas dans l’article !). Et c’est là que l’huile d’onagre peut les aider 😉
Qu’est ce que l’huile d’onagre ? Composition et propriétés
L’onagre est une petite plante à fleurs jaunes, du nom latin oenothera biennis. Son huile provient de ses graines !
Si l’huile d’onagre est si intéressante, c’est parce qu’elle contient un certain type d’oméga 6 : l’acide gamma linolénique (GLA). Cet acide gras polyinsaturé fait partie des acides gras essentiels : les acides gras essentiels sont des acides gras (sans blague) que notre organisme ne sait pas synthétiser seul et qui doivent donc impérativement être apportés par l’alimentation ou un complément alimentaire.
L’huile d’onagre contient aussi :
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de l’acide linoléique (LA), qui est un autre type d’omégas 6
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des oméga 9
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des antioxydants (vitamine E et vitamine F, notamment)
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C’est la raison pour laquelle l’onagre est utilisée par les femmes depuis de nombreuses années : cette composition unique a des bienfaits pour la peau par exemple, mais aussi pour le cycle menstruel ! La richesse de son huile fait d’elle une aide précieuse pour les problèmes de santé féminine.
Comment l’onagre agit-elle sur le cycle menstruel et la sphère gynécologique?
Huile d’onagre et inflammation
L’acide gamma linolénique a une fonction bien spécifique : il active nos prostaglandines anti-inflammatoires (notamment les PGE-1), qui vont contre-balancer les prostaglandines inflammatoires (PGE-2). Les prostaglandines sont des hormones composées d’acides gras qui sont chargées de moduler l’inflammation dans l’organisme : l’inflammation est nécessaire pour l’organisme, mais doit rester un mécanisme ponctuel et maîtrisé 🙂 Les PGE-2 lancent les processus inflammatoires, tandis que les PGE-1 et PGE-3 viennent calmer le jeu.
C’est ici, en partie, que réside le secret de l’huile d’onagre : elle a de très belles vertus anti-inflammatoires ! Or, l’inflammation, c’est un peu l’ennemi de notre équilibre hormonal. Par ailleurs, réduire l’inflammation permet d’apaiser une grande partie des troubles liés aux règles, à la phase lutéale ou à l’ovulation (oui, certaines femmes ont des douleurs au moment où le follicule s’apprête à être expulsé !). Elle peut donc améliorer le bien être des femmes tout au long des cycles 🙂
Huile d’onagre et équilibre hormonal
L’huile d’onagre régule la production des hormones féminines (notamment via son action anti-inflammatoire), soutient la progestérone en phase lutéale et participe donc au maintien de l’équilibre hormonal de la femme.
De plus, sa richesse en acides gras permet à notre corps de s’en servir pour produire nos hormones : en effet, ces dernières sont fabriquées à partir du cholestérol et donc de (bon) gras, comme ceux contenus dans l’huile d’onagre !
Bonus : l’huile d’onagre agit sur la glaire cervicale
La prise d’huile d’onagre a une influence sur la glaire cervicale : en effet, les acides gras essentiels qui la composent ont une action émolliente sur cette dernière, qui devient plus fluide et s’extériorise mieux. Elle devient alors plus facile à observer pour repérer sa fenêtre de fertilité, son ovulation et s’y retrouver dans son cycle ! Ses effets sur la glaire sont ressentis de manière assez rapide, parfois dès le premier cycle 🙂
L’huile d’onagre pour apaiser le syndrome prémenstruel
Le SPM, ce syndrome tellement courant
Le SPM (ou syndrome prémenstruel) gâche la vie de beaucoup de femmes : il peut se caractériser par des douleurs utérines, des tensions mammaires, des troubles de l’humeur, de la rétention d’eau, une prise de poids momentanée, des fringales compulsives, une moins jolie peau (entre autres) dans les jours qui précédent les règles. Une fois que les menstruations se déclenchent, les symptômes du syndrome prémenstruel disparaissent généralement comme ils sont venus.
La phase lutéale est une phase guidée par la progestérone : cette hormone a des effets hyperthermiques, apaisants et relaxants, qui favorise le repli sur soi et les moments de repos (entre autres). Et c’est normal, car le rôle de la progestérone est de maintenir une éventuelle grossesse ! On peut aussi sentir que l’utérus « travaille » et tiraille un peu. En revanche, le syndrome prémenstruel est plus « hardcore » et n’a rien de physiologique !
Si on reprend ce que l’on a dit dans la première partie sur le déroulement du cycle menstruel, la progestérone et les oestrogènes chutent en fin de phase lutéale : l’une des théories avancées sur le syndrome prémenstruel explique que ce sevrage hormonal serait compliqué à gérer pour le cerveau, qui se retrouve alors en état de manque. Le SPM est également souvent corrélé à un excès d’oestrogènes par rapport à la progestérone après l’ovulation, ainsi qu’à l’inflammation, qui génèrent ou accentuent les douleurs ressenties.
L’action de l’huile d’onagre sur le SPM
Le SPM serait donc dû à la fois à un déséquilibre hormonal et à une inflammation : or, l’huile d’onagre a justement des propriétés qui agissent sur ces deux problèmes !
En effet, l’acide gamma linolénique (GLA) contenu dans l’huile d’onagre est reconnu pour diminuer la sévérité des symptômes du SPM, comme le démontre cette étude, qui nous dit que « la sévérité et la durée du syndrome prémenstruel (à la fois sur les plans physique, mental et social) ont été améliorées chez les femmes de l’étude ayant pris de l’acide gamma linolénique, en comparaison avec les femmes du groupe ayant pris un placebo« .
Quand prendre de l’huile d’onagre dans le cycle menstruel ?
Pour un meilleur confort menstruel
On peut tout à fait prendre de l’huile d’onagre sur tout le cycle menstruel (hors règles, car elle peut accentuer les saignements) pour une « simple » régulation hormonale.
Pour soulager le syndrome prémenstruel
La prise d’huile d’onagre fait partie des solutions naturelles phares pour apaiser les symptômes du syndrome prémenstruel et c’est la raison pour laquelle elle est recommandée en phase post-ovulatoire, de l’ovulation jusqu’aux règles. Ceci étant dit, on peut aussi, en cas de syndrome prémenstruel, en prendre sur tout le cycle : en effet, pour un corps jaune en pleine forme, qui sécrète la juste dose de progestérone, il faut avoir une ovulation de qualité ! Donc, travailler en pré-ovulatoire pour apaiser le SPM parait également être une bonne piste. Cela permet aussi de profiter au maximum de ses bienfaits anti-inflammatoires.
Ce sont d’ailleurs des pistes que l’on creuse dans le Moody Club ! Il est bien entendu question de l’huile d’onagre, mais pas que, car elle ne suffit pas toujours pour apaiser ce satané SPM 😉
Pour améliorer sa glaire cervicale
La glaire cervicale est l’un des bio-marqueurs de l’ovulation (avec la température) : et repérer son ovulation avec précision, ça ne sert pas uniquement pour optimiser sa fertilité ! Toutefois, il arrive souvent que la glaire ne s’extériorise pas bien, qu’elle ne « glisse » pas hors du vagin avec une belle consistance de blanc d’oeuf cru. L’huile d’onagre, prise en phase pré-ovulatoire (de la fin des règles à l’ovulation) est ici toute indiquée, car elle a des vertus « fluidifiantes« , encore une fois, grâce à ces acides gras essentiels !
Si vous êtes en projet bébé, l’huile d’onagre peut aussi vous aider en agissant sur la qualité de la glaire cervicale et donc en favorisant vos chances de conception : en effet, la glaire cervicale a pour rôle principal de permettre la fécondation 😉
Quelle dose d’huile d’onagre prendre ?
Généralement, on recommande de prendre 1500 mg soit 3 capsules de 500 mg par jour, soit seulement en phase ovulatoire, soit en post-ovulatoire, soit sur tout le cycle, selon ce que l’on cherche à travailler : équilibre des hormones, qualité de la glaire cervicale ou apaisement des symptômes du syndrome prémenstruel.
Ceci étant dit, n’hésitez pas à vous fier à la posologie indiquée par le fabricant ou aux conseils de votre professionnel de santé !
Les contre indications et potentiels effets secondaires de l’huile d’onagre
Si l’huile d’onagre est merveilleuse pour le bien-être menstruel des femmes, ainsi que pour la beauté de la peau ou la santé cardiovasculaire, il est tout de même important de connaître ses contre-indications :
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Règles : l’onagre est fluidifiante et peut augmenter le volume des saignements, on l’arrête donc toujours pendant les règles.
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Grossesse et allaitement : aucune étude n’ayant prouvé son innocuité chez les femmes enceintes et allaitantes, on l’évite, par prudence. Cela dit, elle permet aussi, en toute fin de grossesse, de faciliter l’accouchement.
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Opération chirurgicale
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Troubles de la coagulation sanguine
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Enfin, vérifiez que vous ne soyez pas allergique à l’onagre !
L’huile d’onagre peut également provoquer certaines effets secondaires indésirables, comme des troubles digestifs ou des maux de tête. Si cela vous arrive, faites une pause ou arrêtez votre cure et n’hésitez pas à en parler à votre médecin 🙂
Bien que les omégas 6 contenus dans l’huile d’onagre soient des omégas 6 anti-inflammatoires, n’hésitez pas à éventuellement vous supplémenter également en omégas 3, pour respecter le ratio oméga 3 et oméga 6 dans l’organisme. On pense notamment aux femmes atteintes d’endométriose 🙂
Si l’huile d’onagre ne vous convient pas, sachez que la bourrache est une plante dont les graines contiennent encore plus de GLA (étude) : il n’est d’ailleurs pas rare de voir un complément alimentaire contenant de l’huile d’onagre et de l’huile de bourrache 🙂
Cette huile végétale est également recommandée pour la beauté de la peau et le syndrome prémenstruel, tout en ayant d’autres contre-indications (comme la prise d’anti-douleurs ou d’anti-inflammatoires, entre autres). Comme l’huile d’onagre, elle reste en revanche déconseillée en cas d’opération chirurgicale et de problèmes de coagulation. Là encore, en cas de doute, demandez conseil à votre médecin !
Quelle huile d’onagre choisir ?
Une fois qu’on a dit tout ça, il y a un autre point essentiel lorsque l’on parle de l’huile d’onagre : la qualité du complément alimentaire que l’on choisit. En effet, votre huile d’onagre doit respecter les critères suivants :
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Être de qualité biologique
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Être vierge, de première pression à froid.
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Pour plus de confort, on préfère aussi une galénique sous forme de capsules, pour avoir la juste dose d’huile d’onagre, sans se prendre la tête 🙂
Beaucoup de marques proposent désormais des capsules d’huile d’onagre, mais celle qui nous a convaincus est l’huile d’onagre du laboratoire Hollis : elle est de très belle qualité et réalisée par un laboratoire français, qui s’y connaît vraiment !
Si vous avez envie de prendre un complément alimentaire à base d’huile d’onagre, sachez que vous avez -10% sur le site d’Hollis avec le code EMANCIPEES 🙂
Questions fréquentes
Comment savoir si j’ai besoin d’huile d’onagre ?
L’huile d’onagre peut vous aider dans les cas suivants :
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- Si vous avez peu de glaire cervicale, ou une glaire qui a du mal à s’extérioriser
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- En cas de syndrome prémenstruel, avec des symptômes plus ou moins marqués (prise de poids, ventre gonflé, douleurs, troubles de l’humeur, etc).
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- Si vous sentez que vous pourriez réguler vos hormones du cycle et vous apporter davantage de bien-être menstruel.
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- L’huile d’onagre a également des vertus sur le tissu cutané et participe à la beauté de la peau, ainsi qu’à une bonne santé cardiovasculaire (entre autres !).
Comment utiliser l’huile d’onagre pour tomber enceinte ?
L’huile d’onagre est un complément alimentaire qui regorge de bienfaits pour la santé de la femme, mais pas que ! Elle est aussi un soutien de poids quand on est en projet bébé, en agissant, là encore, sur la qualité de la glaire cervicale et l’équilibre hormonal.
Pour aller plus loin et savoir comment la prendre, rendez-vous sur notre article L’huile d’onagre pour tomber enceinte et booster sa fertilité !
Comment utiliser l’huile d’onagre pour la grossesse et l’accouchement ?
Comme mentionné plus haut, l’huile d’onagre n’est pas recommandée lors de la grossesse, par manque d’études et par précaution. En revanche, elle a des bienfaits avérés sur la dilatation du col de l’utérus lors de l’accouchement, lorsqu’elle est prise sous forme de capsules vaginales molles en toute fin de grossesse 🙂
Pour creuser ce sujet, on vous recommande notre article sur l’huile d’onagre au cours de la grossesse et de l’accouchement.
L’huile d’onagre peut-elle apaiser la ménopause ?
Oui, tout à fait ! Les bienfaits de l’huile d’onagre ne s’arrêtent pas avec le cycle menstruel et elle reste une alliée précieuse de la santé féminine une fois la ménopause installée, voire en pré-ménopause. Elle a en effet, entre autres, une action reconnue sur les bouffées de chaleur.
Là encore, on vous a écrit tout un article sur les vertus de l’huile d’onagre lors de la ménopause !
Pour conclure, l’huile d’onagre est une véritable alliée du cycle menstruel, des femmes qui veulent réguler leurs cycles et apaiser les symptômes de leur SPM. L’acide gamma linolénique contenu dans son huile est ultra précieux pour moduler l’inflammation et la balance oestrogènes / progestérone : il serait dommage de s’en priver 🙂
On espère que cet article a apporté toutes les réponses à vos questions sur les bienfaits de l’huile d’onagre sur le cycle menstruel : si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à nous les poser en commentaire !
10 réflexions au sujet de “L’huile d’onagre pour apaiser son cycle menstruel et le syndrome prémenstruel”
Bonjour,
Depuis que j’ai eu mon fils, mon SPM est beaucoup plus fort et notamment mes migraines cataméniales. Penses-tu que l’huile d’onagre puisse aider pour les migraines ou d’autres aides seraient plus efficaces.
Merci beaucoup !
Coucou Céline ! Il existe plusieurs pistes pour les migraines cataméniales et l’onagre peut aider, mais pas que, car il faut savoir d’où viennent ces migraines (trop d’oestrogènes, histamine, etc.) 🙂 Si tu le souhaites, on creuse ce point dans notre nouveau programme dédié au SPM, le Moody Club, qui ouvrira ses portes demain 🙂 https://www.emancipees.com/lp/wl-moody-club/ Très bonne journée à toi ! 🙂
Bonjour, j’ai 63 ans depuis 6 mois j’ai des petits saignements. Ceci n’est pas d’origine dangereux, j’ai deja fait plusieurs analyses tout négatif. Ceci est très rare et je demande es-ce que vous avez déjà connu ainsi es-ce que l’huile d’onagre peut aider d’arrêter cette phénomène rare?
Coucou ! Alors, je ne pense pas que l’huile d’onagre puisse aider dans ce cas :s N’hésite pas à creuser ce point avec ton équipe médicale, est-ce que, par exemple, vous avez pu explorer la piste du polype ou du fibrome ? Très bonne fin de journée à toi !
Bonjour,ma petite fille de 19ans à des menstruations à plein temps, est ce que l’huile d’onagre pourrait l’aider??
Bonjour Suzanne ! Pour être honnête, je n’en suis pas sûre, surtout que l’onagre peut fluidifier le sang, et si ta fille a des saignements en continu, il est surtout important qu’elle consulte un médecin, afin de voir d’où viennent ces saignements : la cause n’est pas forcément grave, mais il n’est pas normal d’avoir des saignements tous les jours. Très bonne journée à toi !
Bonjour,
On m’a conseillé l’huile d’onagre pour ma fille de 13 ans qui a des troubles de l’humeur avant ses règles, avec des cycles peu régulier
Comment dois je lui donner ? En continue ou seulement 1 à 2 semaines avant les règles ?
Merci
Emilie
Bonjour Emilie ! Oui les cycles sont souvent irréguliers à l’adolescence et c’est normal, le temps qu’ils se calent (cela peut prendre plusieurs années) 🙂 Oui, l’huile d’onagre 2 semaines avant ses règles peut être une bonne idée 🙂 Bonne journée !
Bonjour! Merci pour cet article complet ! Une petite question cependant : l’huile d’onagre en phase lutéale peut-elle aider à soutenir une nidation de manière naturelle, un peu comme le ferait un complément en progestérone ? Je pense aux projets de conception pour les femmes allaitantes dont la phase lutéale peut être raccourcie par l’allaitement, et aux femmes de 40 ans et plus.
D’avance, un grand merci !
Coucou Sara ! Merci pour ta question 🙂 Pour te répondre, l’action hormonale de l’huile d’onagre est tout de même plus douce qu’un complément de progestérone (elle va plus réguler que booster) et il serait préférable de miser sur une plante comme l’alchémille pour soutenir sa progestérone par exemple. En sachant qu’on évite l’onagre et l’alchémille pendant l’allaitement, mais cela peut tout à fait fonctionner pour les femmes en péri-ménopause, qui peut survenir dès la fin de la trentaine (à part si elles ont des contre-indications personnelles, bien sûr). Très bonne journée à toi !